Chez un concessionnaire

S’il y a un des moyens les plus sûrs pour vendre votre voiture, c’est d’aller dans un concessionnaire. En effet, il s’agit d’une méthode rapide et sécurisée. Vous n’avez plus besoin de faire des démarches administratives liées à la vente, ce qui est d’ailleurs un travail de longue haleine. Toutefois, cela vous soumet quand même à certaines obligations. Aujourd’hui, il est possible de trouver une multitude de professionnels proposant une offre de rachat de voiture aux conditions très avantageuses. Le principal avantage de ce système est de permettre un important gain de temps et d’énergie.

Entre particuliers

Si vous choisissez de vendre votre véhicule à un particulier, vous devez d’abord vous poser quelques questions sur le prix à fixer, les procédures de la mise en vente ou encore des démarches administratives à effectuer. Dans cette solution, notez que les particuliers ne viennent pas par magie à votre rencontre. Vous devez utiliser plusieurs canaux (sites de vente en ligne, petites annonces dans la presse, affichettes) pour émettre votre annonce dans laquelle vous allez préciser la marque de la voiture, le modèle, l’année, les options, etc. La dernière et non la moindre, il est vivement conseillé de mettre des photos de la voiture (extérieur et intérieur) dans votre annonce.

Sur une plateforme

Aujourd’hui, vendre une voiture sur une plateforme est devenu la norme. Le site en ligne joue souvent le rôle d’intermédiaire de confiance dans la vente. Vous pouvez prendre des rendez-vous par téléphone ou par mail tout en indiquant le lieu et l’heure de votre choix. Durant la rencontre, l’agent va procéder à une inspection de votre quatre-roues en collectant quelques informations (année, marque, modèle, kilométrage, entretien, etc.).

Poser vous-même votre plaque, est-ce permis ?

La fabrication d’une plaque d’immatriculation doit être confiée à un professionnel parce qu’il y a des normes à suivre en la matière. Rappelez-vous que la question des plaques minéralogiques n’est pas quelque chose de banal. Elles sont strictement réglementées et s’écarter, ne serait-ce que très peu, de ces règles vous mettra en infraction avec la loi. Alors, autant commander vos plaques d’immatriculation à un professionnel comme www.plaqueimmatriculation.com qui connaît parfaitement les règles concernant les plaques. Vous n’avez plus qu’à les récupérer et à les poser. Avez-vous envie de vous en charger vous-même ? Vous ne souhaitez pas passer par un garage pour la pose ? Rassurez-vous, sur ce point, pas de problème : il est tout à fait autorisé par la loi de poser lui-même sa plaque d’immatriculation. Que vous posiez vous-même vos plaques, dans votre propre garage, à l’arrière de votre maison, avec l’aide d’un ami ou d’un membre de votre famille, cela ne vous causera aucun problème. N’importe qui a le droit, s’il le veut, de poser en personne ses plaques d’immatriculation. Il suffit de savoir comment le faire et quels outils utiliser. Mais répétons-le, il y a des consignes à respecter scrupuleusement : les initiatives personnelles ne sont pas permises. En fait, la pose des plaques n’est pas compliquée dès lors qu’on suit à la lettre les instructions. Il n’est pas utile d’être particulièrement doué ni même d’être bricoleur pour la réussir.

Matériel et étapes de pose de plaques d’immatriculation

Installer vous-même vos plaques d’immatriculation réclame quelques outils pour que le résultat soit satisfaisant. Ce doit être des outils qui garantissent la tenue de vos plaques, de manière à ce que celles-ci ne s’enlèvent pas facilement et ne se dévissent pas au premier choc.

De quoi avez-vous besoin ?

Quelques outils suffisent : une perceuse avec un foret métal de 5 mm, 4 rivets (2 par plaque) et une pince à rivets. Ne pensez pas qu’un marteau et un tournevis remplaceront très bien ces outils. Il faut le bon matériel pour que tout soit conforme.

La pose : comment procéder ?

La première étape consiste à ôter les rivets de l’ancienne plaque d’immatriculation. À l’aide de votre perceuse, faites de petits trous sur les rivets pour les enlever facilement. Nettoyez l’emplacement. Puis, percez de nouveaux trous, juste à proximité des anciens. Surtout, n’utilisez pas les précédents trous, faites-en d’autres. Ensuite, apposez votre plaque en insérant les rivets. Pour bien les fixer, servez-vous de la pince. Normalement, dans le kit d’installation que vous avez acheté, des cache-rivets sont fournis. Utilisez-les par-dessus les rivets pour plus d’esthétisme. Mais vous êtes libre aussi de les laisser tels quels. Une fois que vous avez terminé de poser une plaque, faites de même pour l’autre. Bien sûr, pour une moto ou un scooter, vous n’avez qu’une seule plaque d’immatriculation à installer à l’arrière.

Le coût d’une plaque d’immatriculation

Il est difficile, voire impossible, de préciser exactement combien coûte une plaque d’immatriculation. Plusieurs facteurs entrent en jeu. Ils peuvent faire varier le prix d’une plaque d’immatriculation.

D’abord, il y a le matériau : plexiglas ou aluminium ? Ce sont les deux types de matériaux possibles. À vous de faire un choix. Il est à noter que l’aluminium est très abordable et est le plus classique. C’est aussi la version la plus utilisée par la plupart des usagers. Les plaques d’immatriculation en plexiglas par contre sont un peu plus chères, mais il faut dire qu’elles sont bien plus esthétiques. Si vous voulez un rendu plus joli, si vous voulez que vos plaques ajoutent au charme de votre véhicule, choisissez le plexiglas.

Puis, le prix peut dépendre également du prestataire qui va exécuter le travail. Souvent, dans des adresses connues, le coût peut être plus élevé, mais vous pouvez être sûr que le travail sera bien fait. Il est aussi possible de passer votre commande en ligne. En tout cas, vous pouvez choisir le prestataire de votre choix, mais vérifiez qu’il a bien l’agrément pour le faire. C’est votre garantie qu’il respectera bien les consignes légales et que vous ne serez pas déçu. Comptez dans les 20 euros pour la fabrication des plaques d’immatriculation. Le kit d’installation coûte environ 10 euros et la pose coûte dans les 40 à 60 euros.

Vos obligations au regard de la loi

La question des plaques d’immatriculation est clairement encadrée par la loi. C’est dans le but de mettre tous les automobilistes au même niveau dans ce domaine. Pour rappel, voici vos obligations en la matière :

– Premièrement, vous devriez poser deux plaques d’immatriculation sur votre véhicule, à l’avant et à l’arrière. À noter que ces plaques doivent être rétro-réfléchissantes pour être conformes à la loi.

– Deuxièmement, chaque plaque doit être parfaitement lisible et, évidemment, en bon état. Cela implique que vous devez les vérifier régulièrement pour vous assurer qu’elles ne sont pas sur le point de tomber, qu’elles ne sont pas sales et donc illisibles. Gardez toujours à l’esprit que même si vos plaques d’immatriculation sont en bon état, mais que les inscriptions sont cachées par la boue ou toute autre salissure, vous êtes en infraction avec la loi. Alors, nettoyez-les régulièrement.

– Troisièmement, votre plaque arrière doit être sous un éclairage suffisant afin qu’elle soit lisible (à 20 m de distance minimum), et ce même la nuit. Veillez à ce que vos plaques soient constamment en conformité avec la loi. Autrement, vous risquez des contraventions et peut-être des problèmes plus graves, selon la nature de l’infraction.

Sanctions en cas d’infraction par rapport aux plaques d’immatriculation

Concernant vos plaques d’immatriculation; plusieurs situations pourraient vous mettre en infraction avec la loi. Par exemple, si vous roulez avec votre véhicule alors que celui-ci n’a pas ses plaques, vous risquez une contravention de 4e classe. Même si vous ne faites qu’un seul tour en voiture ou une poignée de kilomètres avec votre véhicule sans plaques d’immatriculation, c’est déjà une infraction pour laquelle vous devrez payer une amende forfaitaire de 135 euros.

De même, si vos plaques ne sont pas conformes, c’est-à-dire si elles ne sont pas dans les bonnes dimensions ou si elles sont mal placées ou encore illisibles, vous devriez payer l’amende forfaitaire. Cette amende pourrait s’élever à 375, voire 750 euros. Elle est assortie d’une immobilisation du véhicule.

Si vous utilisez de fausses plaques d’immatriculation, en attendant que vos nouvelles plaques soient prêtes, ce ne serait plus une simple infraction, mais un délit. C’est la même chose pour l’usurpation de plaques. En cas d’utilisation de fausses plaques, l’amende peut aller jusqu’à 3 750 euros, avec un retrait de 6 points sur votre permis, la suspension de celui-ci et 5 ans de prison. Pour une usurpation de plaques, c’est 30 000 euros, un retrait de 6 points et 7 ans de prison.

Les outillages divers

Pour resserrer ou détacher certains éléments de votre moto, des clés s’avèrent nécessaires. Il en existe différentes sortes et chacune joue un rôle bien précis sur le marché. Il y a entre autres, les clés dynamométriques, les clés Allen, les clés à bougies, etc. Parmi les outillages de base qui vous seront nécessaires figurent également les différentes pinces, les tournevis et le marteau de mécanicien. Certains de ces outils peuvent être livrés directement dans des boîtes à outils ou en kit, mais en peut aussi les acheter séparément.

Les outils d’entretien

L’entretien de la chaine de votre moto requiert également l’usage d’outils spécifiques. Une brosse chaine permet par exemple de nettoyer la chaine en profondeur. Un kit rive et dérive vous aidera à la monter ou à la démonter, et pour l’aligner correctement, vous pouvez utiliser un boîtier laser. Par ailleurs, si vous utilisez des pneus tubeless, un kit anti-crevaison peut vous être utile. Avec cet outil, si jamais vous crevez un pneu, vous pourrez le faire tenir plus longtemps sur la route le temps d’arriver dans un garage.

Les autres outils utiles

La batterie fait partie des éléments indispensables sur une moto et pour vérifier son état, un multimètre peut être utile. Il peut également aider lors d’un souci de panne électrique sur la moto. Par ailleurs, s’il y a des vis tenaces sur le deux-roues, il est possible d’investir dans un tournevis à frapper. Et enfin, pour surélever votre véhicule, vous pouvez avoir besoin d’une béquille de stand arrière. C’est un matériel utile sur les motos qui ne possèdent pas de béquille centrale. Vous avez le choix entre deux modèles dans ce cas, l’un avec un patin en caoutchouc et l’autre en V.

Aller plus vite au travail

C’est un moyen de transport très pratique pour aller au travail d’autant plus s’il y a des bouchons sur la route qui mène à votre bureau. Avec un vélo à assistance électrique, dites au revoir aux embouteillages et aux heures perdues à chercher un endroit pour stationner.

Éviter d’être en sueur

Le vélo électrique est le deux-roues idéal pour se déplacer sans effort. Vous n’aurez plus de difficulté à gravir les dénivelés. Entre autres, même si vous conduisez, le battement de votre cœur sera pareil à celui d’un piéton. Finis alors les chaleurs estivales et les côtes interminables !

Préserver l’environnement

En utilisant un deux-roues électrique, vous contribuez à préserver l’environnement. Vous allez réduire l’émission de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Selon une récente étude menée par les chercheurs de l’Ademe, l’utilisation de ce type de vélo diminue les trajets mensuels en véhicules d’environ 650 km et en même temps les dépenses en carburant.

Ne pas être dépendant des transports en commun

Vous n’allez plus attendre pendant des minutes voire même des heures dans les stations métros ou les arrêts bus surtout aux heures de pointe. Par ailleurs, vous n’êtes plus forcés de supporter les odeurs indescriptibles dans des transports en commun. Et, vous éviterez aussi d’arriver trop en retard à la maison.

Faire du sport en douceur

Faire un vélo électrique est bénéfique pour votre santé, car il contribue à minimiser le risque de maladie de cardio-vasculaire. Il est également recommandé pour les personnes ayant des problèmes de surpoids ou de diabète. Il s’agit d’un bon plan, si vous voulez reprendre le sport en douceur.

Retirer la batterie

La batterie est l’une des premières choses que l’on voit lorsque l’on ouvre le capot. Il est pratiquement impossible de rater cette grosse pile. Car oui, une batterie n’est ni plus ni moins qu’une grosse pile, dotée d’une borne positive et négative.
La première étape pour remplacer une batterie c’est de la retirer de son support. Même s’il n’y a pas de règle spécifique en ce qui concerne l’ordre de débranchement des bornes, il est préférable de commencer par la borne négative. En commençant par la borne négative, on évite les risques d’électrocution, car celle-ci est reliée à la partie métallique de la carrosserie. Ce qui n’est pas le cas avec la borne positive.
Il suffit ensuite de retirer les attaches qui maintiennent la batterie sur son support.

Installer une batterie neuve

Avant d’installer une nouvelle batterie, il est primordial de contrôler l’état du support. Si ce dernier est en abîmé ou rouillé par l’acide, il est impératif de le nettoyer ou le remplacer pour éviter d’endommager la batterie de remplacement.
Pour retirer ce support, il suffit de retirer les vis que le maintiennent sur la carrosserie. Et pour enlever la rouille, la meilleure méthode c’est de plonger l’élément dans un bain de vinaigre puis de le peindre.
Une fois le support remis à neuf et revissé, la batterie neuve peut être installée en faisant l’inverse du démontage.

Profitez des belles plages de Saint-Tropez

Si vous souhaitez passer la plupart de vos vacances à la plage, Saint-Tropez ne vous décevra pas. En effet, cette jolie ville côtière sur la Côte d’Azur dispose de diverses belles plages répondant à toutes les attentes. Vous pouvez tout simplement vous y détendre sous le soleil et profiter de la mer. Mais, les plages de Saint-Tropez sont aussi propices à diverses activités. Selon votre choix, vous pouvez vous offrir une petite virée en bateau, effectuer des sports aquatiques, etc. Choisissez un hôtel situé près de la plage pour accéder à la mer facilement chaque jour. Le choix y est large ! Vous pourrez vous servir d’un comparateur de tarifs en ligne pour trouver l’offre la plus intéressante. Outre les hôtels, il existe aussi des gîtes et des campings près des plages qui vous ouvrent leurs portes. Effectuez bien à l’avance votre réservation. Les hébergements se remplissent vite surtout en été.

Découvrez la richesse culturelle de Saint-Tropez

À Saint-Tropez, les amoureux de la culture ne seront pas en reste. Visitez la maison des papillons créée par le peintre Dany Lartigue. Vous allez y découvrir de plus de 35 000 espèces de papillons. Pensez aussi à faire un tour au musée de l’Annonciade. Vous y ferez la découverte des collections d’œuvres de Paul Signac, de Van Dongen et d’Utrillo, entre autres.

Comment se rendre à Saint-Tropez ?

Vous avez plusieurs options pour vous rendre à Saint-Tropez. Vous pouvez venir en camping-car, avec votre propre voiture, ou encore en train. Si vous êtes impatient ou encore si vous n’avez que quelques jours de congé, vous pouvez aussi prendre l’avion et atterrir à l’aéroport de Nice. Mais avant votre départ, faites appel à un service Transfert Saint Tropez. De cette manière, dès votre arrivée, vous serez tout de suite pris en charge. Vous n’avez plus besoin de chercher un autre moyen de transport. Votre chauffeur vous y attendra avec une voiture confortable pour vous conduire à votre hôtel à Saint-Tropez.

Regarder l’état de la batterie et du démarreur

Procédez tout d’abord, à la vérification de votre engin avant de faire appel à une dépanneuse. Pour ce faire, allumez le contact, si au démarrage votre auto émet un son, c’est que la batterie doit forcément être faible ou définitivement à plat. Par contre, si le moteur tourne de manière régulière alors, la batterie est hors de cause. Ensuite, vérifiez l’état des connexions entre les cosses et les bornes. Pour que la batterie réussisse à transmettre correctement de l’électricité, les cosses doivent être bien serrées et les bornes en bon état et bien propres. Puis, testez-la au voltmètre jusqu’à ce qu’elle génère une tension comprise entre 12,4 et 12,7 V. Enfin, démarrer votre voiture, mais sans la batterie cette fois-ci. Si elle ne marche pas alors, voyez si le solénoïde du démarreur est cassé. Il suffira alors de le remplacer. Si toute cette étape est appliquée, il vous sera possible de reprendre la route. Sinon, il est possible que le souci soit plus grave.

S’assurer que le moteur est bien approvisionné en carburant

En premier lieu, votre réservoir doit être rempli de carburant propre et frais. S’il est vide, remplissez-le. S’il est plein, vérifiez que le robinet d’arrêt du carburant est ouvert et bien propre. Cette procédure effectuée, sachez que la saleté et les débris sont les causes les plus communes d’un démarrage difficile. Ensuite, vérifiez si le moteur sursaute avant de se couper. Si ce dernier délivre une puissance irrégulière alors que votre pied reste immobile sur l’accélérateur, c’est que le problème se situe dans le circuit de carburant. Ensuite, redémarrez l’auto. Si le moteur cale après 30 minutes de repos, c’est qu’un filtre à carburant doit être bouché. Dans ce cas, remplacez votre filtre à carburant qui empêche l’arrivée de l’essence. En dernier lieu, vous n’avez plus qu’à tester votre pompe à carburant. S’il fonctionne bien alors, votre voiture est réparée, dans le cas contraire, remplacez la pompe en vous référant au manuel de la voiture.

Testez l’allumage

Le fonctionnement des bougies d’allumage nécessite un courant à haute tension fourni par les bobines d’allumage. Étant donné leur fonction complexe, les tester reste la meilleure solution afin de déterminer le problème avant de les changer. En cas de panne, il faudra déterminer l’endroit où le courant est interrompu. Commencez par démonter les bougies, puis branchez-les sur leurs fils et posez-les à la masse. En actionnant le démarreur, il doit y avoir des étincelles sinon, débranchez les bougies et maintenez l’extrémité du fil à 10 mm environ de la masse, avec un chiffon isolant. S’il n’y a toujours pas d’étincelles, remontez jusqu’au distributeur voire même jusqu’à la bobine, et s’il y a absence de réaction alors, la bobine est défectueuse ou le circuit est à basse tension. Si tel est le cas, vous n’avez qu’à remplacer ce qui empêche le moteur de démarrer.

Vérifier les ampoules en cas de panne de phares

Dans les 90% des cas, une panne de phares vient d’un souci avec une ampoule. Cette pièce peut s’arrêter de fonctionner pour diverses raisons. Pour en avoir le cœur net, il faut enlever le cache. Un tournevis cruciforme devrait le détacher. Ensuite, vérifiez que le filament sur l’ampoule est intact. Si ce n’est pas le cas, il faut enlever et remplacer l’ampoule. Avoir une ampoule de réserve dans la boite à outils reste une bonne précaution. Le respect de la puissance est primordial.

Contrôler le contact et suivre les fils

Il arrive aussi que la défaillance d’un phare vienne d’un mauvais contact. Prenez un morceau de papier de verre et frottez à la base de l’ampoule. Parfois, la rouille empêche le courant de passer. Refaites la même opération sur le culot si jamais il porte des traces d’oxydation. Si possible, vérifiez que les fils autour des feux sont bien en place. En cas de surtension, ils finissent par se couper tous seuls à cause d’une surchauffe importante.

Jeter un œil sur les fusibles

Le problème peut aussi venir d’un fusible. Ce dernier préserve les fils contre une surchauffe en cas de court-circuit. Quoi qu’il en soit, il va falloir trouver la boite à fusibles. Tous les dispositifs pour couper le courant vers les équipements électriques sont groupés. La plupart du temps, ce fameux boitier se trouve sous la boite à gants, dans l’habitacle. Il faut s’aider d’un manuel utilisateur pour comprendre le branchement. Le but est de reconnaitre, puis de remplacer le fusible défaillant.

Examinez bien le véhicule dans ses moindres détails avant de vous décider

Avant de vous décider, prenez le temps de bien observer le véhicule pendant la journée pour avoir une meilleure visibilité. Ayez en tête que chaque détail est important. Ne vous fiez pas uniquement au design extérieur de la voiture. Vérifiez également son intérieur et ses équipements. Pour vérifier le côté moteur, si vous n’avez pas de connaissances en mécanique, l’idéal est de faire appel à un professionnel, par exemple un garagiste, lors de la visite de la voiture. Cela vous permettra de détecter facilement les anomalies. Pensez également à contrôler la cohérence du kilométrage du tableau de bord avec ceux mentionnés dans le livret d’entretien.

Testez la voiture sur différents types de routes

Avant d’acheter une voiture d’occasion, vous devez absolument effectuer un essai sur route. Pour cela, il est conseillé de rouler sur différents types de routes pour voir si la voiture fonctionne bien et s’il convient à toutes les voies. Lorsque vous êtes au volant, écoutez bien les bruits du moteur, observez la tenue de route, ainsi que la qualité du freinage et évaluez les sensations que vous éprouvez pendant les virages. Et n’oubliez pas d’examiner si le passage des vitesses est fluide et si les pédales sont résistantes.

Vérifiez bien les papiers fournis concernant le véhicule

Quand vous achetez une voiture d’occasion, le vendeur doit vous fournir quelques documents importants et vous devez vérifier leur conformité. Il doit notamment vous donner l’attestation de contrôle technique qui doit dater de moins de six mois, le carnet d’entretien avec les factures d’intervention et le certificat de non gage.